Vous pensiez tout connaître des contes de notre enfance ?
Vous croyiez dur comme fer aux fins heureuses ? Into the Woods remet tout en question. Pour notre plus grande joie se trouvent empêtrés dans un conte commun, Raiponce et Le Petit Chaperon rouge, Jack et le haricot magique, Cendrillon et ses deux vilaines sœurs et d’autres figures récurrentes des frères Grimm.
Stephen Sondheim et James Lapine, les auteurs, ont détourné avec humour les codes des contes de fée, pour créer une comédie musicale à la fois trépidante, moderne et subversive.
À la fois récit d’aventures, d’initiation et de marivaudage, Into the Woods navigue sans cesse entre le premier et le second degré. Entremêlés avec virtuosité dans une pelote d’innombrables fils narratifs, les fameux personnages des frères Grimm se dévoilent sous un jour nouveau, laissant entrevoir comme rarement leurs défauts, leurs faiblesses de caractère et leur morale pas si pure. Leur humanité, en somme.
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La Presse en parle
« Into the Woods a fait souffler dans les branches de l’Opéra Bastille un doux air de Broadway. On s’est volontiers laisser cueillir par la spontanéité du jeune et talentueux Ensemble Justiniana. […]
La troupe a affiché une fraîcheur, une sincérité et une cohésion désarmantes. […]
Naïf, cet Into the Woods n’en est pas moins un exaltant conte qui régalera petits et grands. »
Toute la culture
« Un délicieux charivari des contes de notre enfance. »
Le Figaro
Découvrez l’avare dans un thriller moderne détonnant ! Dans cette version de l’Avare, Harpagon est le chef du plus grand réseau de banditisme de Paris. Un burnout provoqué par le décès de sa femme qu’il aimait tendrement l’a poussé à se réfugier dans les affaires sombres, ne trouvant plus de jouissance que dans l’appât du gain. Victime de trahisons et d’hypocrisie, il n’a plus aucune attache pour l’être humain et inflige désormais tout le mal qu’il peut, souvent même sans s’en rendre compte.
Cependant, sa noirceur est nourrie par une envie : subvenir aux besoins de ses enfants malgré son absence d’implication réelle dans la réalisation de leur véritable bien-être. Mais la solitude guette celui qui ne s’inquiète véritablement que de son propre sort. Peu à peu, sa maison, ses enfants, ses hommes de main se retournent contre lui. Parrain incontesté et craint de la mafia parisienne, saura-t-il faire face à ces trahisons et ses fautes ?
C’est le portrait d’une femme blessée par l’Amour et le Temps… Telle « La Loba », ramassant des os pour reconstituer un squelette auquel elle redonnera chair et souffle, elle retrouve, relie et réconcilie les temps de sa vie en composant un puzzle fait de fragments de textes, de corps et de mémoire…
La Fiancée du vent c’est Raphaël Toriel, un auteur d’origine libanaise qui vit à Annecy et qui a écrit pour le Théâtre l’histoire de Leonora Carrington, jeune anglaise, peintre et écrivaine et Max Ernst, allemand, grand peintre surréaliste. La fiancée du vent c’est trois années (1938 à 1940) de bonheur, de passion et de créations intenses interrompues par l’incarcération en deux temps de Max Ernst, antinazi et pacifiste. Leonora ne supportera pas leur deuxième séparation en mai 1940 et sombrera dans la folie.
Cette pièce retrace leur amour, passion et destruction mais aussi le contexte de cette 2e guerre, le camp des Milles dans le sud de la France pour Max Ernst et l’Hôpital psychiatrique à Madrid pour Leonora Carrington. Ainsi que l’arrivée de cet immense courant artistique : le Surréalisme.
LA FIANCÉE DU VENT from Le Temps Présent on Vimeo.